mardi 27 décembre 2011

Pâtes de Noël à la sauce tomate, poivron et chorizo


Peut-on manger des pâtes pour les fêtes de Noël ? Pourquoi pas, si ce sont des pâtes de Noël ! Festives avec leurs formes et couleurs suggestives, elles ont également une très bonne teneur à la cuisson qui leur permet d’égayer les assiettes. On peut aussi les offrir en tant que cadeau amusant, comme c’est le cas du paquet qui est venu à notre table hier soir.


jeudi 15 décembre 2011

Gâteau aux pommes, noix et cannelle


J’ai un petit faible pour ce gâteau aux pommes, en partie parce qu’il est d’une simplicité désarmante, mais aussi parce que sa recette m’a été donnée par une des tantes de mon mari, une très grande dame qui, malgré son âgé respectable de 94 ans, a su préserver intacte sa bonne humeur et la remarquable attention qu’elle porte envers chaque chose ou personne.

Ingrédients :

jeudi 8 décembre 2011

Daurade royale au citron en papillote


Toujours sous l’emprise des daurades, je récidive avec une recette toute simple mais savoureuse. 

mercredi 7 décembre 2011

Filets de daurade royale au chorizo et fenouil confit

La Saint Nicolas est fêtée aussi en Bulgarie, mais dans un tout autre contexte que celui que l’on connaît par ici. Dans la tradition orthodoxe, Saint Nicolas, souverain des mers et des cours d’eau, est le saint patron des pêcheurs. C’est aussi une grande fête familiale qui marque le début des festivités de fin d’année. La tradition veut que toute la famille se rassemble le 6 décembre autour d’un repas composé obligatoirement de poisson. Le plus souvent, il s’agit d’une carpe (selon les croyances, ce serait le serviteur fidèle du Saint) que l’on prépare au four, avec une farce de riz et de noix. À défaut, tout autre poisson de mer ou d’eau douce peut faire affaire…

Pour moi, il est impossible de ne pas respecter cette tradition. Cependant, je m’arrange autant que je peux pour ne pas toucher aux carpes. Hier soir, j’ai trouvé une recette très originale pour mes daurades royales. Je l’ai légèrement adaptée, et nous étions très satisfaits de cette préparation qui c’est avérée non seulement intéressante, mais aussi très savoureuse. 

Ingrédients (pour 2 personnes) :

lundi 5 décembre 2011

Resto à Sète (2ème partie). Bouillabaisse à la sétoise, moules farcies, etc.

Voici la suite avec les plats principaux :

Bouillabaisse à la sétoise

La présence de la bouillabaisse dans le menu s’est avérée un critère supplémentaire, mais obligatoire, dans notre choix de restaurant. Nous en avons discuté en long et en large avec ma belle sœur, et il était hors de question de la laisser repartir pour traverser l’Atlantique sans l’avoir goutée. Je tiens en fait mon addiction à la soupe de poissons à ma belle sœur, parce que c’est elle la première personne qui me l’a fait goûter. Il y a un bon nombre d’années, quand elle et mon frère habitaient en Hongrie, ils nous ont fait visiter l’ancienne capitale hongroise, Esztergom. C’est une majestueuse ville fortifié située sur un virage du Danube. Nous y avons déjeuné dans un restaurant qui servait une magnifique soupe de brochet, une sorte de goulache de poisson très riche en paprika et très piquante. 

Certes, la bouillabaisse sétoise est différente de l’original marseillais, mais cela ne l’empêche pas d’être délicieuse. J’ai demandé l’avis à ma belle sœur, mais elle m’a tout simplement répondu qu’elle est tellement contente qu’elle a perdu la parole.


Bouillabaisse à la sétoise

jeudi 1 décembre 2011

Resto à Sète (1ère partie). Moules à la marinière, etc.

Aujourd’hui, je reviens vers une journée estivale chargée de beaux souvenirs. Et je vous parlerai par la même occasion de quelques plats typiques que propose un sympathique restaurant de Sète.

Au mois d’août, mon frère et ma belle-sœur sont venus nous rendre visite pour quelques jours. Ils habitent au Texas et ont traversé l’océan avec la ferme intention de visiter toute la côte méditerranéenne de l’Andalousie à l’Italie en une dizaine de jours (c’est vrai que, vu de là-bas, les distances sur notre vétuste continent paraissent minuscules et qu’au Texas, on peut rouler toute la journée et toute la nuit et se trouver toujours dans le même état !). Bien qu’ils aient déjà passé une année à Paris, mon frère et ma belle-sœur n’ont jamais visité le sud de la France. Nous les avons donc reçus avec l’intention non moins ferme de leur montrer tout ce que l’on doit à toux prix voir, sentir, et aussi goûter dans notre région, dans la mesure du possible et au delà.

Après l’exécution d’un programme digne de touristes japonais, composé de monuments historiques, édifices romains, paysages méditerranéens et surtout et avant tout de routes languedociennes, nous nous sommes adonnés à cette activité typiquement méditerranéenne que représente le déjeuner qui se prolonge sur plusieurs heures. Nous nous sommes rendus pour cette occasion à Sète.

Comme toute ville située sur la côte méditerranéenne, Sète détient une quantité perturbante de ces ruelles avec vue sur la mer où les petits restaurants se suivent et se ressemblent comme les perles d’un collier. Année après année, nous longeons patiemment ces restos scrutant les menus, essayant de trouver des signes précurseurs d’une nourriture fraiche et savoureuse, avant de s’asseoir pour l’évaluer d’une manière purement empirique. Il est toujours difficile de faire son choix, parce que les restos proposent tous à peu près les mêmes plats, et les opinions des « connaisseurs » varient du « ils sont tous mauvais » à « ils sont tous bons ». J’ai alors usé d’une autre stratégie : j’ai demandé à quelqu’un du coin « où prépare-t-on les meilleures moules farcies ? » (mon plat préféré). Il m’a alors indiqué un restaurant dont je ne vous dirai pas le nom, mais je vous suggérerai qu’il commence par  « mar » et se termine par « ine ». J’approuve : le resto était sympathique et proposait presque tous les plats sétois typiques, la nourriture était délicieuse et bien présentée, et le personnel, très aimable pour nous laisser sans sourciller transporter des bouts de plats d’une assiette à l’autre et prendre toutes les photos que nous voulions.

Voici donc la ronde des entrées :

Moules à la marinière 

Elles étaient d’une telle fraîcheur, c’est comme si l’on mangeait de la mer. De toute façon, je les adore!






























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